Le 11 mars 2011, un tsunami ravage la côte nord-est du Japon. Les jours suivants, trois réacteurs explosent dans la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi. À cette catastrophe s’en est ajoutée une autre : la gestion gouvernementale du désastre. Loin d’être un « accident » désormais « sous contrôle », le drame se poursuit par mille conséquences plus ou moins visibles : pollution, déplacements de populations, bouleversement des intimités.
Avec Laure, nous lirons des passages de Fukushima et ses invisibles, paru aux éditions des Mondes à faire, qui tente de penser autrement le désastre nucléaire en s’appuyant sur les récits de six activistes japonais.
Discussions et auberge espagnole.